Nom de Famille : Kennedy, du clan écossais Kennedy ayant pour devise "avise la fin", anciennement McUalraig.
Prénom : Ashlyn en premier prénom, qui vient du gaélique et de l'écossais, qui signifie rêves ou encore cendre de bois en vieil anglais. Inutile de signifier que j'ai une préférence pour son coté onirique. Catherine en second prénom, quoi de plus classique ?
Age et Date de naissance : 24 ans, 25 dans quelques mois, je suis née le 12 septembre.
Parents : Je suis la fille de James Archibald Kennedy et de Henriette Aimée de Joyeuse.
Nationalité : Ecossaise, Française par ma mère.
Lieu de naissance : Au château de Culzean, en écosse.
Etat-civil : Célibataire.
Titre de noblesse : Aucun je suis juste la fille du Comte de Cassilis.
Métier : Je vous demande pardon ? Nul besoin d'un métier, écrivaine si j'étais réellement seule à décider de mon avenir, mais depuis mon retour à Londres, mes parents veulent a tout prix que je me marie...
Classe sociale : Classe supérieure, plus précisément la noblesse.
Résidence à Londres : Une jolie maison de ville au centre des beaux quartiers de Londres.
Résidence à la Campagne : Le château de Culzean avec ses parents et sa fratrie.
Richesse : Aisée avec une très bonne dot, j'ai comme l'impression que mon père veut a tout prix que je trouve un bon parti.
Groupe : Autumn.
Se présenter au monde
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(001.) : 12 septembre... Ma mère a toujours dit que c'était un signe que ses deux jumeaux soient nés le même jour qu'un illustre Roi de France disparu depuis des lustres, ce fameux François Ier. Un garçon, une fille, le choix du Roi, surtout en premiers nés, sauf que mon frère Ailean Archiblad Calum Kennedy, l'héritier au titre de comte et sa soeur, votre dévouée narratrice, qui se voit presque aussitôt promise à un grand avenir. Ce qui signifie par les temps qui courent faire un mariage avec un bon parti... Mais avant d'en venir a cette étape, il allait falloir grandir et faire de moi la demoiselle que j'allais devenir. (002) : Ma mère étant issue de la famille des Duc de Joyeuse, dont l'un de nos illustres descendants fut le favori d'Henri III, voulait absolument que ses enfants parlent français. Ainsi à la maison, nous parlions donc français, anglais et bien évidement gaélique écossais. Cette dernière langue tenant beaucoup à coeur mon père. Nos racines, qu'elles soient françaises ou écossaises, ont toujours été très importantes à la maison. Ainsi, on connaît par coeur la devise de la famille ( Avise la fin), le plaid de notre tartan, et tout se qui se rattache à notre clan. D'ailleurs, notre père se fait toujours appeler McUalraigh sur nos terres écossaises. (003) : Quatre ans après notre naissance, naquit notre petite soeur, Moira, qui, à l'époque rendit fou de jalousie mon frère, qui n'était désormais plus le petit prince de la famille, de mon coté, j'étais ravie de pouvoir ajouter une nouvelle fille à notre famille, et espérait rapidement rendre fou mon frère et faire de ma nouvelle petite soeur mon acolyte de choc. Elle a grandi la petite, cependant, autant je suis le feu, tout comme Ailean, Moira est l'eau, d'une douceur incroyable, bien moins rebelle que nous deux réunis, nourrissant le fol espoir de se mener une vie douce et sans encombre. (004) : Rêveuse, on peut dire que j'ai toujours la tête dans les étoiles, mais tout en ayant les pieds bien ancrés au sol. J'ai toujours eu une préférence pour la littérature aux mathématiques, et dès toute jeune, j'adorais imaginer des histoires peuplée de fées, de princesses et autres dragons pour ma petite soeur, obligeant mon frère à se déguiser tour à tour en prince en voleur ou en chevalier. Parfois, je les écrivais pour ma soeur, pour ses anniversaire, faisant dessiner les scènes à mon frère à l'aquarelle. On forme toujours la meilleure des équipes lui et moi. (005) : Tha gaol agam ort !Chan eil mi idir Aka Je t'aime, moi non plus. Les vacances chez des amis de la famille, des semaines passées avec le Clan Fraser, et surtout une terrible petite tête brune aux airs filous dont j'ai probablement oublié le noms avec les années passées. Quelques années de plus que moi, comparse en bêtises de mon frère, petit démon qui me tire les cheveux, qui me tire la langue et qui me dit dix minutes plus tard qu'il m'épousera quand on sera plus vieux et que je n'aurai pas le choix. Dieu ce que je pouvais le détester et lui marcher sur les pieds quand on nous obligeait à danser ensemble aux réceptions de ses parents, et des miens. Clairement mon meilleur ennemi de l'époque. (006) : Autant le dire, je n'étais pas vraiment le genre de demoiselle qui tenait en place, ainsi bien que je me lassais de la couture et de la broderie bien que toute dame de mon rang, selon ma mère, doit être experte, je préférais les cours d'escrime que me donner mon frère après les avoir reçu de son maître d'armes. Je suis plutôt douée au fleuret même si une dame ne devrait pas savoir se servir des armes, je le sais pertinemment. J'aime également, l'équitation, me perdre a cheval, faire le tour du loch à coté de notre domaine, les cheveux au vent, loin des conventions étriquées de la cour londonienne. (007) : A ce qu'on attend un peu plus de moi, j'aime particulièrement la littérature, bien que ma littérature préférée ne soit encore une fois pas celle à la mode. J'ai particulièrement aimé trouver dans la bibliothèque de ma mère, certains romans de Jane Austen, qui à l'heure actuelle n'est plus publiée depuis de nombreuses années. J'ai également beaucoup aimé la touche surprenante du roman gothique Frankenstein de Mary Shelley, que je trouve particulièrement novatrice pour l'heure. J'aime également Lord Byron, mon compatriote Walter Scott, Charles Nodier... Que dire également de ce petit bijou qu'est le conte de La Belle et la Bête de Gabrielle Suzanne de Villeneuve... J'aimerai vraiment un jour avoir une bibliothèque aussi riche que celle de ma mère. (008) : 16 ans, les mains moites, le coeur battant contre ma cage thoracique à vive allure, et clairement pas envie de rentrer dans le monde de requins des saisons. Je n'étais pas prête, j'étais encore une enfant dans ma tête qui voulait chevaucher les plaines sur le dos de son pur sang. Je suppliais ma mère de ne pas y aller, d'attendre un an, de me sentir plus prête, mais bien entendu, mon père avait eu le dernier mot et j'avais été trainée de force à ma toute première saison. Oh, j'ai bien eu des propositions de mariage, que je refusais tour à tour, trouvant une excuse à chaque demande. (009) : Peu de temps avant le début de ma deuxième saison, un évènement allait tout retarder, ma grand mère maternelle étant tombée très malade, nous partions enfin famille en France, laissant mon père à Londres pour gérer ses affaires, venant nous voir de temps à autre. J'ai connu ainsi le charme et la vie à la française, nous sommes restés jusqu'à l'année dernière dans la propriété de ma grand mère, décédée deux ans après notre arrivée. J'aurai très bien pu me marier à un riche Francais, mais mon père refusait avec véhémence que j'épouse un français, préférant que je me marie à un écossais ou à un anglais. Il a repoussé les différentes demandes reçues de la part des nobles de la cour de Louis XVIII lors de ses visites. (010) : De retour à Londres a l'été 1825, je n'ai malheureusement pas eu le temps de participer à la saison de cette année 1925, mais âgée aujourd'hui de 24 ans, mes parents sont bien décidés à me marier, en plus de ma soeur qui fait son entrée dans la cour londonienne. Il serait peut être temps effectivement, surtout qu'à 24 ans, toujours célibataire, beaucoup considèrent que c'est suspect. Alors, autant ne pas fermer de portes.